Questionnaire

1. Pourquoi les enfants n’ont-ils pas voulu rentrer à l’hôtel pour se reposer?

2. Quelle était la réaction de Pierre et des enfants envers l’orchestre et la musique qu’il exécutait?

3. Pourquoi Pierre n’a-t-il pas osé avouer qu’il trouvait l’orchestre « de premier ordre »?

4. Décrivez la scène de la rencontre des enfants avec leurs copains.

5. Comment Pierre et Yvette réagissaient-ils à ces retrouvailles enthousiastes de leurs enfants avec leurs amis? Les connaissaient-ils? Quels sentiments éprouvaient-ils à l’égard des copains de leurs enfants?

6. Danièle était-elle heureuse d’avoir rencontré ses amis? Qu’est-ce qu’elle a raconté à ses parents? N’avez-vous pas l’impression que Danièle parle de ses copains avec un certain orgueil?

7. Les copains, comment étaient-ils venus à Venise? Où étaient-ils descendus?

8. De quoi parlaient les époux après le départ de leurs enfants ? Quels sentiments éprouvaient-ils à ce moment? Yvette pourquoi essayait-elle de rassurer son mari?

9. Pourquoi Pierre et Yvette ont-ils tant attendu pour venir à Venise dont ils avaient rêvé depuis longtemps ?

10. De quoi se souvenaient les époux lorsqu’ils parlaient de leur jeunesse? Qu’est-ce qu’on leur avait enseigné quand ils étaient jeunes?

11. En quoi consistait la différence entre leur vie et celle de leurs enfants?

12. Pourquoi parlaient-ils avec nostalgie de leur jeunesse? Qu’est-ce qu’ils regrettaient avant tout ?

 

4. Traduisez en français en faisant attention aux mots soulignés. Consultez le texte.

1. Когда Пьер предложил вернуться в отель, чтобы немного отдохнуть до ужина, дети сказали, что лучше прогуляться на свежем воздухе.

2. Выходя на площадь святого Марка, они увидели оркестр, который исполнял знаменитый /fameuse/ марш из оперы Верди Аида.

3. Дети рассмеялись. Как же это смешно! Приехать в Венецию, чтобы послушать эту « цирковую музыку »! Напротив, у Пьера сложилось впечатление, что оркестр был великолепен, но он не осмелился это сказать в присутствии детей. Ему также казалось, что музыка хорошо сочетается с красотой архитектурного ансамбля.

4. Вдруг Даниэла и её брат увидели группу молодых людей и побежали им навстречу /à leur rencontre/. Это были их школьные товарищи. Они путешествовали автостопом и остановились у своих друзей в Венеции. Глядя на них, можно было подумать, что это битники. У них действительно был странный вид.

5. Даниэла присоединилась к брату и своим товарищам. Они решили вместе пройтись до ужина.

6. Пьеру казалось, что они не были такими, как дети в их возрасте. Но времена изменились. С детства их учили, что сначала должна быть работа, а только потом развлечения. Но теперь всё было наоборот. Даже в семейном бюджете расходы на досуг занимали первое место /être mis en avant/.

7. Эта тема была им знакома. Ради детей они не отступали ни перед какими расходами. Несмотря на лишения /privations f pl/ этих уже далёких лет, Пьер и Иветта с нежностью вспоминали о тех временах, которые уже никогда не вернутся.

 

5. Faites le résumé du texte en vous basant sur la traduction ci-dessus.

Une enquête pose la question « Comment passez-vous vos vacances? ». Lisez les réponses et répondez vous-mêmes à cette question.

 

- Les vacances ? Ah! Les vacances, c’est partir… loin, n’importe où, n’importe comment, mais très loin. Avec une fille… des copains, de vrais copains ! Je supporte plus de passer mes vacances en famille. Être couvé, choyé, merci, hein, j’ai passé l’âge! Cette année, on s’organise un petit voyage en Turquie. Dès la fin juin, on part.

***

- Les vacances ? On part chez les parents de ma femme, avec ma femme. Et là, moi, j’évite de bouger, hein! Je me laisse vivre. Pas de téléphone, plus de clients, plus de chefs, pas d’horaire. Seul, libre, quoi! Je me rase pas … Pas de cravate. Le matin, les pieds un peu plus hauts que la tête, dans un coin tranquille, pas trop chaud, au vert! Après la sieste… je vais à la pêche. Les visites, les musées … ça ne m’intéresse pas.

***

- Oh! Quand je pense aux vacances … quand je pense aux vacances, pour moi, c’est la côte. Bien sûr, au mois d’août, il y a du monde. Mais on ferme en août, vous savez bien, c’est un mois creux. Et puis, moi, j’aime être bien bronzé, avec le soleil, un petit coin sur la plage, ça me suffit. Je campe. Le soir, on va danser… Toute la bande. Ça passe si vite. Il faut savoir en profiter.

***

- Eh bien, voyez-vous, je passe généralement les fêtes… les fêtes de Noël … de Pâques … dans notre maison de campagne en Normandie. En février, je prends huit jours pour aller faire du ski. En été, je prends un mois. Oui, des amis nous laissent leur villa dans le pays Basque. Je fais un peu de voile, je lis – durant l’année je n’ai pas le temps – et je peux enfin jouer avec mes enfants. À la maison, ils sont trop pris par leurs devoirs ou… par la télévision. Et puis, moi, je suis trop absorbé par mon bureau.

***

- Oh! Je suis pas parti bien souvent dans ma vie. En 51, je suis allée à Lourdes. Et il y a deux ans, mon mari et moi, on a décidé d’aller chez mon frère en Bretagne. C’est pas facile de tout laisser, mais on s’est arrangé. C’est les voisins qui ont soigné les bêtes. Finalement, ça change les idées. Et puis, c’est joli, la Bretagne! On a bien aimé. Mais voyez-vous, au bout de huit jours, j’étais bien contente de rentrer.

***

- Tous les ans, on veut partir, pourtant on n’a jamais pu. Bien sûr, maintenant, on a droit aux congés payés. Mais cette année, avec les trois semaines de grève … et puis il y a le poisson qui se vend pas tellement. Alors? Les enfants iront en colonie, mais nous? avec quoi partir?

***

- Les vacances, pour moi, ce sont les voyages. Si je reste au même endroit, c’est comme du sable qui file entre les doigts : rien! Rien … J’ai vieilli d’un mois, c’est tout. Mais si je voyage… tout est changé…

D’après Interlignes

 

6. Faites le portrait psychologique et social de chacun des interviewés. L’exemple pour le premier personnage :

Je crois qu’il s’agit d’un jeune homme («partir avec une fille»), probablement d’un étudiant à l’Université («Dès la fin juin, on part») – c’est la fin de l’année universitaire. Il vit dans une famille aisée, entouré de soins et d’amour parentaux, au moins maternels («Être couvé, choyé»).

Il ne veut plus passer ses vacances en famille, car il se croit adulte. Peut-être y a-t-il d’autres raisons à cela, parce qu’il veut partir «loin, n’importe où, n’importe comment, mais très loin» de la maison. Il est attaché à ses amis, car il veut se reposer avec des amis, de vrais amis. Cette année, il pense s’organiser un voyage en Turquie, peut-être au bord de la Méditerranée.

Milieu social : il s’agit d’un étudiant qui n’a pas beie-posetiteli/" target="_blank">